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 (M) all that's left is the ghost of you (ryan gosling)

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AuteurMessage
Constance Adkins

Constance Adkins



messages : 13
inscription : 10/01/2013
avatar : emma stone.
credits : tearsflight.

(M) all that's left is the ghost of you (ryan gosling) Empty
MessageSujet: (M) all that's left is the ghost of you (ryan gosling)   (M) all that's left is the ghost of you (ryan gosling) EmptySam 12 Jan - 18:12


you can't lose someone you never had
~♢~
idée de prénom - wade. âge et origine - entre vingt-six et vingt-huit ans, origines américaines. nombre de temps à fairview - quelques semaines (même s'il a de la famille éloignée ici) statut civil officiel - célibataire métier ou études - militaire groupe/famille - au choix (sauf les Keenan évidemment (M) all that's left is the ghost of you (ryan gosling) 337664734 ).
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Informations importante sur le personnage
~ l'histoire est totalement libre, mis à part ces quelques points. wade s'est engagé à l'armée (âge et raisons de l'engagement au choix) + il était en mission en Iraq de 2009 à 2012 + il est de retour sur le continent depuis quelques mois et vient tout juste d'arriver à fairview où il retrouve des membres éloignés de sa famille + il sait également que c'est ici que vit Constance + depuis la fin de sa mission, il souffre de certains troubles psychologiques + il a du mal à retrouver un but + il a passé les premiers mois de son retour seul, presque sans contact extérieur mis à part son job occasionnel au garage de son meilleur ami.
“And he wants it to be this family is a tyranny and it's taken over me ”


CHAQUE PERSONNE QU'ON S'AUTORISE A AIMER EST QUELQU'UN QU'ON PREND LE RISQUE DE PERDRE. ∞ « Vous me faîtes mal, doc. » Les mains de la blonde se figèrent sur le genou meurtri de l’homme allongé sur le lit d’appoint. Elle arqua un sourcil à son attention, uniquement pour remarquer le sourire narquois qu’il avait sur les lèvres. Elle avait mis un peu de temps pour comprendre comment les soldats fonctionnaient dans ce genre de situations. Au début, elle culpabilisait ou se disait qu’elle faisait mal son travail et qu’elle n’était peut-être finalement pas faite pour cela. Mais après trois années d’études et un départ anticipé en Iraq, c’était trop tard pour refaire l’histoire. Et puis, avec l’expérience, elle avait fini par les déchiffrer. Pour des hommes résistants et robustes, ils pouvaient parfois se montrer douillets. Pour des hommes résistants et robustes, ils pouvaient parfois se montrer douillets. Mais la plupart du temps, ils avaient pour but de rendre les femmes comme elles nerveuses. Les voir rougir était un bonus. Or, elle avait désormais compris leurs intentions et en jouait. « Vraiment ? » Sa voix était faussement fragile, presque inquiète. « Vraiment. » Elle laissait finalement se dessiner un sourire sur ses lèvres, semblable à celui de l’homme. Wade Fiels, d’après la fiche dont elle disposait. Elle laissait ses doigts appuyer une fraction de secondes mais fermement sur un point sensible de son genou, juste assez pour le faire tressaillir innocemment. « C'est votre blessure qui vous fait mal, Fields. Et là, c'était moi. »


LE PROBLEME, C'EST QUE MEME SI TU M'DISAIS "J'ADORE" J'TE CROIRAIS PAS. JE SAIS PLUS QUAND TU JOUES ET QUAND TU JOUE PAS. J'SUIS PERDUE. ∞ « Comment va ton genou ? » Les doigts de Constance caressaient avec une tendresse qui lui était jusqu’à présent inconnue la jambe autrefois mutilée de Wade, au travers de son treillis. Elle n’aurait jamais imaginé s’attacher autant à une personne en si peu de temps. Encore moins alors qu’elle se trouvait à l’autre bout du monde. Leur relation était pourtant loin d’être qualifiée de simple ou de rationnelle. Si la blonde ne souhaitait se concentrer que sur son job et ses patients, lui était plutôt insouciant et profitait de chaque moment de liberté. Il avait fallu attendre des semaines pour qu’elle accepte de sortir la tête de ses bouquins et passe une soirée avec la troupe. Tout comme, il lui avait fallu autant de temps pour qu’elle passe outre ses apparences désinvoltes et en apprenne plus sur lui et son passé. « Comme neuf. T’as fais du bon boulot. » Un léger sourire fier s’installait sur ses lèvres. Elle appréciait évidemment lorsqu’on la complimentait sur son travail, mais cela avait une saveur particulière lorsque cela venait de lui. Son visage se faisait progressivement plus grave alors qu’elle croisait son regard. Sa mission se terminait demain, ils en étaient tous les deux conscients mais aucun n’en avait parlé jusque là. Ils n’étaient même pas officiellement en couple, comment l’être dans de telles circonstances ? Ils ne pouvaient partager les moments simples du quotidien. Les leurs se restreignaient à des instants volés et des conversations légères ou profondes selon l’humeur. Malgré tout, ils s’accrochaient l’un à l’autre sans se le dire tout haut. Peut-être qu’ils avaient seulement besoin de cette proximité, de cette familiarité. De savoir que quelqu’un les attendait et qu’ils pourraient oublier un instant dans la chaleur du corps de l’autre. C’était des foutaises. Elle le savait lorsqu’elle pensait à son retour à Fairview et à quel point l’idée de partir sans lui était impensable. Sauf qu’il était trop tard pour le dire et que ça leur ferait sûrement plus de mal que de bien. Alors, elle baissait les yeux et se lançait. « Je pars demain. » La main de Wade rejoignait la sienne et tandis qu’elle s’apprêtait à serrer son étreinte, il l’éloignait. « Je sais. C’est peut-être mieux comme ça, tu crois pas ? » Il marquait une pause. Le ton de sa voix était à nouveau détachée, presque froide. « Il faut se rendre à l’évidence, on avait juste besoin d’une compagnie. Quelqu’un pour se tenir chaud le soir, non ? Tu vas retrouver les tiens, et je pense que je tarderais pas à trouver un remplacement. » Il cherchait à la faire souffrir, et son plan fonctionnait parfaitement. Elle était perdue entre l’idée qu’il cachait sa propre douleur de la voir partir par ces mots et celle que ce qu’il disait était purement la vérité. Et même après un peu moins d'une année, elle n'avait toujours pas de réponse à ses questions.

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