Première mention, je ne me souviens plus de cette partie de ma vie, suite à un accident que je ferai mention plus tard. Vous verrez ; tragique! Donc pour faire simple, je suis membre de la famille Sibley : une famille des plus effrayante. Mon père était devenu un grand criminel et m'avait fait rentré dans son business : la mafia. J'avais passé mon enfance, mon adolescence a faire passé des trucs dans ma petite ville de naissance : je ne sais pas ou. Donc, je vais vous dire qu'est-ce qui c'est passé pour dans cette famille. Donc de un, j'ai été témoin du meurtre de ma petite soeur et son jumeau : écorché, violé, vidé et tout le tralala. Tout ça pour rien. Quelques mois plus tard, j'apprend que c'est mon père le responsable et que son patron me donnerais son héritage si je me débarassait de mon paternel : je l'ai fais. Bien sûr, mon aîné n'était pas vraiment d'accord avec ça. Il a essayé de me tuer. Résultat : je l'ai tué.

Vous savez, quand un patron de la mafia est assassiné, et bien dans son testament il lègue son empire a quelqu'un de son choix. Et bien cette personne ; c'était moi. Bon d'accord, j'ai pris la grosse tête! Avec tout ce que j'avais appris, je pouvais diriger cet empire. Je me souviendrai toujours de ce jour, j'étais jeune, assez jeune ; dix-neuf ans je vous dirais. Tout homme qui était sous son reigne avaient peur de moi et j'aimais ça. On m'avait annoncé que je devais prendre sa place et tout de suite. Ce fut le début d'une vie des plus délectable. J'ai été responsable de plusieurs attentats, assassinats dans l'états de New York, car oui c'est là que j'avais attéris.

Qui aurait cru que moi : Chef mafieux, me retrouverait marié à une superbe femme comme Odile Dunhill. La meilleure femme sur laquelle je pouvais tomber. Elle fut tout un défi, je dois le dire. Je me suis pas mal battu pour la faire flancher. Elle était une de mes employés : la meilleure, la plus efficace. Qui aurait cru qu'un jour je serais assez fou pour la demander en mariage. Bon d'accord, elle était parfaite pour moi, j'ai toujours cet alligator: lucy, qu'elle m'avait offert à la naissance de notre mariage. Et de se mariage est née une fille, ma petite princesse, ma seconde reine. Ces deux femmes sont les femmes de ma vie. Ma fille ; Mattie, est aussi belle que sa mère, mais bizarrement, elle est aussi douce qu'un agneau, je ne sais pas d'ou elle tiens ça, mais si c'est de moi, on a un problème. Mais bon, ma fille, ma femme, c'était ma vie, donc hors de question que quelqu'un s'en prenne à elles, je tuerai pour elle, des centaines de personnes, si l'une d'elle disparaissait : je tuerais tout le monde qui se placerais dans mon chemin.

Le jour de l'accident : c'était un jour comme les autres, du moins pour moi. Je ne sais pas comment c'est arrivé, ni pourquoi et je ne le saurai jamais puisque j'ai perdu toute ma mémoire. Pour faire long, ma femme m'avait donné rendez-vous à l'arrière d'un restaurent que je contrôlais, mais elle ne s'est jamais pointé, donc j'ai décidé de rentrer puisque ce n'était pas normal, mais vraiment pas. Je n'avais pas pris la peine de prendre la voiture je traversais la ville à la course. Je m'étais retrouvé dans une ruelle et Odile se trouvait de l'autre côté. Je l'avais appeler, elle s'était retourné et avait tiré une balle. Pour faire court : ma femme m'a tué. Bon vous comprenez, je suis vivant donc elle ne m'a pas vraiment tué, mais elle a tué une grande partie de mon passé. Quand je me suis réveillé j'étais allongé dans un lit avec ma chère Gracie assis de l'autre côté du lit qui m'observait. Étrangement, je me souvenais d'elle et de Gary.

J'ai tout oublier, mais je sais ce que je suis et ce que je fais et c'est tout ce que j'ai besoin de savoir. Donc, je vis tranquille dans une ville de fou. Qui aurait cru que des guerres de familles pourraient me déranger autant. Je ne sais pas comment je fais pour me retenir pour ne pas tuer quelqu'un. J'ai envie d'arracher la tête à toute ses familles, n'aller pas savoir pourquoi, mais surtout la famille d'une de mes employées : Odile Dunhill. Je n'arrive pas à supporté sa famille, elle ça va, c'est passable, mais sa famille... Ne me plaçai pas une lame à la main dans la même pièce qu'eux puisqu'ils n'en restera plus un seul et il ne serait plus reconnaissable. Vivant à l'écart de la ville, je me tais et je fais mes affaires, je ne me mêle pas des autres. Si jamais, les problèmes remonte jusqu'à moi, les disparitions et les meurtres vont augmenter.